Se changement ne se fera pas sans souffrance animal j'en ai peur car ceux qui détienne les animaux d'élevages ne s'encombreront pas d'animaux inutiles, de bouche en trop à nourrir, ils réduiront selon la demande les effectifs qu'il ont, humain également.
je pense que si un changement intervient au niveau de l'évolution de la société cela se fera de façon imperceptible : il suffit d'une génération dans un élevage pour ne plus en avoir... si par exemple la demande diminue...
ce n'est qu'en cas de crash brutal qu'il risquerait d'y avoir des problèmes : mais il y en aura alors autant sinon plus pour les humains eux-mêmes :-)
Il faudra des siècles avant qu'un monde vegan soit perceptible.
probablement et si l'on peut espérer une évolution "naturelle" dans ce sens, sauf le crash donc je parlais précédemment (et qui est en fait mon scénario le plus probable, mais c'est un peu un autre sujet)
Le contact avec les animaux et certes importante, cette complicité qui nous unie à nous est forte et je ne crois pas qu'elle se perdra, se sera à nous d'être patient, à nous d'être docile, à nous de les comprendre et de les suivre. Les animaux seront libre, tout comme nous, de se rapprocher ou non et ils choisiront autant que nous les hommes vers qui ils iront, il y aura toujours des complicité forte entre nous et les animaux mais elle seront simplement plus juste, elles se feront sans souffrance, sans domination.
je me suis surtout posé des questions au sujet de certaines ressources indispensables comme l'usage du cuir et de la laine par exemple , (j'exclus l'utilisation du plastique en remplacement du cuir puisque c'est un produit non renouvelable) mais aussi au niveau de l'agriculture (sans fumier et sans engrais chimiques ceux-ci étant aussi faits de matière non renouvelables sur le long terme) un paysage d'un monde vegan ne ressemblerait par exemple en rien à un paysage comme nous le connaissons aujourd'hui... enfin je pense, du fait de la modification profonde de l'agriculture... c'est certainement utopique mais il est intéressant d'y réfléchir...
pour la notion de "combat", je me sens personnellement plutôt "observateur", en fait, n'ayant pas trop envie d'imposer mes idées ; d'ailleurs une législation par exemple ne me semble pas forcément intéressante sinon provisoirement : les gens agiraient sous la contrainte et pas par leur propre volonté et ce n'est donc pas très efficace.